Va-t-on vers la ruine des automobilistes?
Depuis ces derniers mois, l’actualité législative montre en France une volonté accrue de renforcer le contrôle des automobilistes.
Conséquence pour les propriétaires de voiture: un véritable coup de massue sur le pouvoir d’achat. Posséder un véhicule est devenu un luxe qui pousse une partie des automobilistes à se placer dans l’illégalité. Illustration avec certains exemples concret déconcertant et provoquant la colère de plus en plus de citoyens:
La flambée des hydrocarbures :
Comme vous avez pu le constater par vous même. Le grenelle de l’environnement vantait il y a une décennie le mérite de rouler au diesel. Actuellement, le diesel s’aligne sur le prix de l’essence atteignant la barre de 1,45 euros le litre.
Piétonnisation grandissante des centres urbains :
Une autre politique amorcée ces dernières années souhaitant en finir avec l’engorgement des centres villes ayant pour conséquence majeure d’aboutir à un véritable racket légal. En effet, le tarif de stationnement est excessif et même les riverains y ont droit. Heureusement, que les services municipaux prévoit une légère ristourne.
L’émergence de la verbalisation par vidéo :
Plus le droit à l’erreur. Tout est prétexte pour faire marcher le portefeuille. Prenez-donc garde à ne pas trop traîner en double file.
La fameuse vignette pour les jours de pic de pollution :
Elle permet aux véhicules de pouvoir accéder dans le coeur des grandes villes françaises les jours où le seuil de pollution est élevé. Même les voitures électriques doivent la posséder sous peine d’amende.
Limitation de la vitesse à 80 km/heure dès juillet 2018 :
Un peu plus de flicage car la route tue messieurs, dames. Quel est l’intérêt d’abaisser de 10 km/heure la vitesse sur route nationale alors que le compteur est poussée au maximum sur autoroute. La plupart des accidents de la route ne surviennent-ils pas avec la consommation de drogue ou en état d’ébriété.
Le renforcement des règles de sécurité relatif au contrôle technique automobile
Elle induit forcément un entretien régulier du véhicule. Hors entretenir le véhicule ou changer les pièces d’usures dans un garage coûte un bras. A cela, s’ajoute 20% d’augmentation pour le prix du contrôle technique probatoire avec possibilité d’immobiliser les véhicules vétustes. Les pauvres en payeront les pots cassés une fois encore.
A cette liste exhaustive s’ajoute les frais d’immatriculation, l’assurance auto obligatoire qui fait la sourde d’oreille quand il s’agit de mettre la main à la poche.
Bref, posséder un véhicule devient pas à pas un droit réserver aux classes privilégiées et à en croire les associations de consommateurs, le droit de circuler semble être une liberté individuelle remise en cause.